Un petit clin d'oeil, pour ceux qui ont animé nos soirées. Ou nos week-end.
Car c'est cela, n'est-ce pas, le but premier d'un livre, animer un moment dans la vie d'un lecteur.
Ecrire peut-il être autre chose que l'envie de donner?
Certains donnent beaucoup. Et des délires des uns, rêveries des autres, on ressort :
*premier cas de figure:
Le maquillage défait, les zigomatiques douloureux, et les abdominaux en berne. En clair, on rit beaucoup.
Hémigamie : Le mariage vraiment pour tous
Extraits de commentaires:
Au vu de ces deux commentaires, on se doutera bien à quel point nous avions aimé ce livre.
Ce qui amène à penser que nous ne nous sommes pas présentées :
Lucie Arcangel, formatrice en écriture, auteur
et moi - même Céline Vay, et j'oserai le mot, "auteur". Je m'illustre en inconnue.
"On ne sera pas surpris de rencontrer, une nouvelle fois encore, l'humour dans le style narratif de l'auteur, pour notre plus grand plaisir.Le personnage principal, Manu Fretin, n'est pas chaste, ses propos non plus,pourquoi le seraient-ils? L'innocence néanmoins demeure, amène le lecteur à s'attendrir, les phrases sont parfaitement en phase, rien n'est déplacé, la condition de macho oblige, on aime, les réactions, les siennes, celles de ceux autour, qui gravitent, même par intermittence, c'est un joyeux spectacle, le spectateur change. Comme tout homme, Manu Fretin voit son cerveau lobotomisé par sa compagne, qui plus est en prenant de l'âge. Rien n'est oublié de la vie d'un couple, ni les exigences ultimes de la femme, avant que sa vie ne se mette en pause. Le rouleau à pâtisserie, se modernise, il se fait maillet mais la question sera la même "épouse - moi" et je ne serai pas si vilaine.Surtout n'en perdre aucune miette, l'auteur analyse, c'est sociétal, la femme tend sa toile, souffre parfois de sa condition d'araignée, mais ce que femme veut, le maillet l'obtient.Et muselle, un vrai macho. Excellent!!"
"Oui, c'est de la folie. D'une part, Menu Fretin est un personnage complètement timbré, qui n'est pas tout seul dans sa tête, et pour cause, il est affublé de la personnalité d'une femme meurtrière. D'autre part, ce qui est fou, c'est le style parfaitement maîtrisé de Robert Dorazi, un concentré parfait d'humour noir et de dérision. Comme pour Hiver Minimus, on retrouve un héros somme toute assez candide, absolument décalé. Voilà la description magistrale d'une pensée psychotique, où l'on accompagne le personnage dans son monde, dans une réalité autre. J'ai ri, beaucoup ri en lisant ces lignes savoureuses et délicieusement ordurières, parfois. Robert Dorazi nous montre ici qu'il est un auteur au talent polyvalent, à l'aise dans l'univers enfantin comme dans celui plus sombre des adultes. Hémigamie m'a régalée, et pas qu'à moitié !"
Au vu de ces deux commentaires, on se doutera bien à quel point nous avions aimé ce livre.
Ce qui amène à penser que nous ne nous sommes pas présentées :
Lucie Arcangel, formatrice en écriture, auteur
et moi - même Céline Vay, et j'oserai le mot, "auteur". Je m'illustre en inconnue.
Je propose d'adopter une classification en fonction des sentiments qu'inspire un livre. Ce qui permettra d'arriver à la page 2 "A quoi sert un livre". Ou 3. Peut-être 4. Enfin, peu importe, le tout étant d'entreprendre un voyage au coeur des livres et dans la tête des auteurs.
Me voilà repartie sur les bancs de l'école : je viens de réussir une magnifique transition pour parler d'un auteur que j'aime beaucoup : Bernard Weber. Et de son oeuvre "le livre du voyage".
Tournons nous aussi la page, comme il nous invite si bien à le faire.
Me voilà repartie sur les bancs de l'école : je viens de réussir une magnifique transition pour parler d'un auteur que j'aime beaucoup : Bernard Weber. Et de son oeuvre "le livre du voyage".
Tournons nous aussi la page, comme il nous invite si bien à le faire.
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